
de nombreuses figures peintes. Les interprétations sémiotiques de ces dessins ont jusque-là laissé dans l’ombre certaines récurrences séculaires de composition particulièrement intrigantes. En s’appuyant sur une approche sensorimotrice, cet article défend l’hypothèse selon laquelle l’organisation des dessins modélise une coordination entre corps, espace réel et espace virtuel
sur la scène rituelle.
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