Indigenous Itelmen people of Kamchatka Peninsula in the Russian Far East first encountered Russian Orthodoxy around 1705. Very early on they recognized the close relationship between the Church and the power dynamics of the colonizers who had arrived in their homeland.
13 janvier 2015: Itelmen Resistance and Religiosity in the Flux of Russian and Soviet History, by David Koester
David Koester (University of Alaska Fairbanks, Visiting Senior Researcher at GSRL, UMR 8582 CNRS/EPHE)
Indigenous Itelmen people of Kamchatka Peninsula in the Russian Far East first encountered Russian Orthodoxy around 1705. Very early on they recognized the close relationship between the Church and the power dynamics of the colonizers who had arrived in their homeland.
Indigenous Itelmen people of Kamchatka Peninsula in the Russian Far East first encountered Russian Orthodoxy around 1705. Very early on they recognized the close relationship between the Church and the power dynamics of the colonizers who had arrived in their homeland.
Aux origines de la "révolution du renne": le rôle du comportement animal
Troupeau de rennes, Kamtchatka, Bystrinskij r., 2014. CS |
La « révolution du renne » (Krupnik
1993)
est une transition globale d’économies de subsistance dominées par la chasse-collecte vers des économies
pastorales dominées par l’élevage de rennes. Ce changement s’est produit chez
les populations indigènes de l’Arctique eurasiatique, de la Scandinavie au
Kamtchatka à partir du milieu xviiie
s., entraînant en général une multiplication par dix des troupeaux de rennes
domestiques et par quatre des populations humaines.
Séminaire: Coopération homme-animal (18 novembre 2014, 9 décembre 2014)
Bibliographie 2014-2015
Ecole pratique des hautes études
Religions de l’Asie septentrionale et de l’Arctique
Coordonner les imaginaires : mythologie et art ornemental ket
Parution de "Millénarismes et innovation rituelle en Asie du Nord"
Comment apprendre à connaître individuellement trois cents moutons?
Vue d'ensemble du campement hivernal |
Du "chamanisme primitif". Réponse à Françoise Aubin
Françoise Aubin a consacré à notre ouvrage, Le chamanisme de Sibérie et d’Asie centrale, coécrit
avec Thierry Zarcone, un compte rendu qui, quoique dans l’ensemble
élogieux, formule une critique sévère à propos du traitement du
chamanisme sibérien (ASSR 2013, 1641).
Les reproches qui me sont adressés, puisque je suis l’auteur de ces
passages, sont émaillés d’inexactitudes, d’imprécisions et de
stéréotypes. On pourrait mettre ces erreurs sur le compte d’une lecture
trop rapide, cependant les positions sur le chamanisme qui y sont
exprimées sont révélatrices de partis pris évolutionnistes qui appellent
une réponse.
La suite dans Archives de sciences sociales des religions [En ligne], 168 | 2014, mis en ligne le 15 juillet 2014.
La suite dans Archives de sciences sociales des religions [En ligne], 168 | 2014, mis en ligne le 15 juillet 2014.
Réponse à H. Rydving: Le chamanisme, un projet d’étude scientifique aujourd’hui.
Dans son article « Le chamanisme aujourd’hui : constructions et déconstructions d’une illusion scientifique »1,
Håkan Rydving entend démontrer le caractère inopérant et même néfaste
des notions de « chamane » et « chamanisme » en anthropologie. Selon
lui, leur emploi donne une illusion de familiarité qui nuit à la
description circonstanciée du contexte social, historique et
culturel des phénomènes étudiés.
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